Planter des arbres en répondant à un quizz...c'est Green Quizz!

Réponse du 6/09/2008 :


Lundi dernier, quel ouragan a touché les Etats-Unis ?


Gustav

Réponse du 7/09/2008 :

Selon une récente étude de chercheurs universitaires espagnols, à partir de quelle date les glaciers des Pyrénées auront tous disparu à cause du réchauffement climatique ?


2050


Consultez la dépêche de l'AFP dans la partie Actualité du forum...

Réponse du 13/09/2008 :


Mardi dernier, le Fonds de retraite d'État norvégien a décidé de se retirer du capital du groupe minier Rio Tinto car il n'approuvait pas sa...

Politique environnementale

Citation :

Le fond de pension d'état norvégien a décidé d'exclure le groupe minier Rio Tinto, en raison des pollutions graves que cette entreprise génère, notamment en Indonésie.

Le fond de pension public de la Norvège est un des plus importants au monde, à la tête de près de 252 milliards d'euros. Ses pratiques reposent sur un éthique forte, refusant de financer les fabricants d'armes, les entreprises reconnues coupables de violation des droits de l'homme, de corruption, ou de pollution environnementale.

Le groupe Rio Tinto vient d'être exclu pour les graves atteintes à l'environnement pratiqué en Indonésie avec l'américain Freeport, qui lui aussi a été exclu du fond en 2006. Il sont accusés de rejeter des produits toxiques dans la rivière qui borde l'exploitation de la mine Grasberg.

"Il n'y a aucun signe que les pratiques de l'entreprise changeront à l'avenir ou que des mesures seront prises pour réduire sensiblement les dégâts infligés à la nature et à l'environnement", a déclaré le ministère des finances norvégien.

La Norvège a exclu bien d'autres entreprises dont les pratiques sont préjudiciables aux hommes ou à l'environnement : Wal-Mart, EADS, Boeing, Safran et BAE Systems entre autres.

Elle a en revanche décider de conserver sa part dans Monsanto, afin de faire pression sur l'entreprise pour influencer positivement ses choix. Le fond de pension est notamment intervenu pour obtenir une réduction significative du recours au travail des enfants dans la production de coton de Monsanto en Inde.

Source :
wikio.fr

Réponse du 14/09/2008 :


Parmi les pays européens, lequel consomme le plus de pesticides chaque année ?

La France

Citation :

La consommation de pesticides en France représente environ 110 000 tonnes par an, soit 100 000 tonnes utilisées en agriculture, auxquelles il faut ajouter environ 10 000 tonnes pour les autres utilisateurs.

La France est le troisième consommateur mondial, après les Etats-Unis et le Japon et, de loin, le premier utilisateur de pesticides en Europe.

Répartition géographique du marché des produits phytosanitaires :

Monde (2001) - 25,6 milliards de dollars	Europe (2000) - 5 814 millions d'euros
Amérique du Nord 32,2 %	France 32 %
Asie 23,2 %	Allemagne 18 %
Europe de l'Ouest 20 %	Italie 12 %
Amérique latine 11,7 %	Espagne/Royaume Uni 10 %

Source : UIPP - Rapport annuel 2001

Ce volume doit toutefois être rapporté à la surface et aux productions agricoles. La France est aussi le premier utilisateur de produits phytosanitaires parce qu'elle est le premier producteur agricole européen (21,7 % de la production totale de l'Union européenne), le premier producteur de maïs, très gros consommateur d'herbicide (42,7% de la production totale européenne), et qu'elle dispose de la plus grande surface agricole utilisée -SAU- : 28,4 millions d'hectares, soit 22 % de la SAU totale). Rapportée à l'hectare, la France est dans une position moyenne.

Source : Rapport sur la qualité de l'eau et de l'assainissement en France sur
le site du Sénat

Réponse du 15/09/2008


Vendredi dernier, l'Organisation météorologique mondiale a annoncé que le trou dans la couche d'ozone qui se situe au-dessus de l'Antarctique devrait disparaître aux alentours de...

2075

Citation :

Le trou apparu depuis les années 80 dans la couche d'ozone au dessus de l'Antarctique ne diminuera pas avant 10-20 ans. Il ne disparaîtra si tout va bien que vers 2075.

A quelques jours de la journée de l'ozone le 16 septembre, l'Organisation météorologique mondiale (OMM) a estimé que "la situation (allait) rester grave encore dix à vingt ans avant que le trou ne commence à se résorber, et ce à condition que le protocole de Montréal soit bien respecté par tous".

En tout état de cause, "il faudra des décennies avant que le trou ne disparaisse et que l'on revienne à la situation d'avant 1980", a expliqué l'expert en la matière de l'OMM, Geir Braathen. "Nous tablons sur 2075", a-t-il ajouté.

La couche d'ozone protège les organismes vivants des rayonnements ultraviolets nocifs du soleil. Au début des années 80, les scientifiques y ont observé la formation d'un trou au-dessus du pôle sud, provoqué par des températures anormalement froides à haute altitude, ces dernières étant dues à des gaz, les CFC (chlorofluorocarbones) utilisés dans la réfrigération et la climatisation.

Pas d'amélioration pour 2008

La mobilisation internationale a permis de signer dès 1987 des accords à Montréal pour l'élimination progressive de ces substances nocives. En 2007, un nouvel accord a été signé par 190 pays pour cesser l'utilisation de la deuxième génération de gaz réfrigérants moins nocive, les HCFC (hydrochlorofluorocarbures), en 2030 dans les pays développés et en 2040 dans les pays en développement.

Malgré ces décisions, les résultats ne pourront se faire sentir rapidement en raison de la lenteur de décomposition dans la stratosphère (soit entre 14 et 20 km de la terre) des substances nocives en cause, a souligné M. Braathen. "La concentration de ces gaz dans la stratosphère diminue à un rythme de 1% par an", explique-t-il. Ainsi, pour 2008, pas d'amélioration en vue.

Selon les premières données de l'OMM, alors que le trou se forme généralement mi-août pour se résorber mi-décembre, sa superficie "est actuellement plus importante que le maximum atteint l'année dernière à la même époque".

Avec Belga
Source : Actu24

Réponse du 18/09/2008:

"La Grande Puanteur" désigne la période qu'a connu la ville de Londres suite à une forte chaleur et à l'évaporation des eaux usées contenues dans la...

Tamise

Citation :

C’est durant l’été caniculaire de 1858 que la ville de Londres connu “la Grande Puanteur”.

A cette époque, les toilettes à chasse d’eau remplacent gentiment les pots de chambre, évitant que les odeurs ne se propagent dans les maisons. Par contre, les toilettes utilisent plus d’eau et génèrent plus d’eaux usées. Il existait déjà des fosses d’aisance dans les jardins, qui étaient vidées la nuit. Leurs contenus servaient d’engrais aux paysans des environs. Cependant la vidange coutait cher et la ville s’agrandissait sans cesse. Il n’y avait pas d’égouts et c’est ainsi que le contenu des fosses d’aisance fut déversé dans la Tamise.

La Tamise devint vite un bourbier vaseux, attirant en grand nombre, rats, mouches et autres insectes. La chaleur étant très forte, aggravée par les rejets divers des usines alentours, la puanteur indisposa vite les habitants de Londres.

A cette époque, le choléra décimait la population londonnienne. Le corps médical, complètement dépassé, assura que la maladie se propageait dans l’air. Mais c’est seulement après trois épidémies qu’un docteur découvrit la véritable cause de la maladie. La population continuait de consommer l’eau de la Tamise extrêmement contaminée.

C’est alors qu’un ingénieur civile proposa la construction d’un réseau d’égouts sous la ville qui mit fin à ce problème.

Cette histoire appartient au passé, cependant, les pays en développement connaissent actuellement ce problème. Près de la moitié de toutes les personnes qui vivent dans les pays en développement souffrent à un moment donné d’un problème de santé dû au manque d’accès à l’eau et à l’assainissement.


Sources / En savoir plus :
(09.11.2006)

Réponse du 19/09/2008 :


Le rechapage est un procédé qui permet d'allonger la durée de vie d'un...

Pneu

Citation :

Le rechapage consiste à remettre en état un pneu en remplaçant la bande de roulement, lorsque celle-ci à atteint sa limite d’usure.

Cette technique, qui consiste à enlever par râpage la partie usée à et mouler de la gomme neuve sur le pneu, permet d’allonger la durée de vie d’un pneu. Certains pneus peuvent être rechapés jusqu’à trois fois. Et la qualité n’est pas altérée, semblable à celle d’un pneu neuf.

Utilisés depuis longtemps dans le milieu des camions et des véhicules de travaux publiques, les particuliers émettent des réticences, suite à des polémiques concernant la qualité et la sécurité des pneus rechapés. De plus, avec le marché asiatique proposant des pneus neufs à des prix défiant toutes concurrences, les gens se tournent plus facilement vers des produits neufs. Pourtant, depuis 2002, les pneus rechapés sont soumis aux mêmes contrôles que les pneus neufs, du moins en France, ce qui assure la qualité des pneus.

La fabrication d’un pneu demande beaucoup de matières premières. Jusqu’à 30 différents types de caoutchouc sont utilisés. Les rechaper, en plus d’être un gain d’argent permet d’utiliser un maximum ce produit qui a demandé beaucoup d’énergie pour être fabriqué.

Dans les années 50, les pneus parcourraient dans les 15′000 kms. Aujourd’hui, grâce à la technique du rechapage, la moyenne est passée à 40′000 kms pour les véhicules de tourismes et à 300′000 kms pour les poids lourds. Si le pneu est rechapé une troisième fois, il peut même parcourir un millions de kms.

Rechaper, c’est une économie d’argent, mais de plus cela permet de maximiser le rendement pour diminuer le coût environnemental.


Sources / En savoir plus :
- La fabrication d’un pneu expliquée sur le site Goodyear
- Un article sur le site Caradisiac, parlant du rechapage (non daté)
- Sur le site Prorecyclage, une rubrique parlant du recyclage des pneumatiques